COMMUNIQUÉ                                                                                                                   Le  23 juin 2005


 Réalités Industrielles – Année 2005 - II
Quel avenir pour la coopération scientifique bilatérale ?


Des dispositifs très différents de coopération scientifique bilatérale ont été mis en place entre la France et différents pays. Plus qu’au contenu des projets communs de recherche, c’est à ces divers modes d’organisation des relations qu’est consacré ce numéro de Réalités Industrielles, à travers des exemples concrets et des témoignages d’intervenants – français et étrangers – actifs dans la gestion ou l’évaluation de programmes de coopération.

En premier lieu se pose la question des enjeux de la coopération scientifique de la France : dans l’action menée par le ministère des Affaires Etrangères face à la globalisation ; dans ses articulations entre le niveau bilatéral et le niveau multilatéral ; au niveau européen à travers les orientations du 7e PCRD ; au regard des objectifs et attentes d’un groupe industriel tel que TOTAL.

Ensuite sont examinés certains dispositifs transverses, c’est-à-dire s’appliquant à de nombreux pays : les Programmes d’Actions Intégrés (PAI) qui constituent un instrument de coopération fonctionnant avec 66 pays dont 31 pays européens ; les outils de la coopération scientifique mis en œuvre au CNRS ; l’organisation par ARIEL de projets bilatéraux associant laboratoires et entreprises.

 Puis des exemples concrets de dispositifs sont analysés, souvent par leurs dirigeants étrangers :

associations bilatérales, généralistes comme dans le cas de la Suède ou de l’Italie, ou bien plus orientées sur des secteurs précis (cas de la Finlande) ;
fondation (Norvège) ;
structure commune à deux Instituts de recherche (Israël) ;
centre de recherches commun à deux pays (Inde) ;
programmes de recherches soit foisonnants et temporaires, soit institutionnalisés et permanents (cas de la Chine).

Enfin, deux cas d’application de la coopération dans des domaines très différents sont évoqués :

la recherche aéronautique, dans le cas d’une coopération franco-allemande ;
les politiques publiques dans le domaine de l’environnement, dans le cadre d’une coopération franco-britannique.
 
Cet ensemble de témoignages montre la vivacité et l’aspect protéiforme de la coopération bilatérale scientifique française. Ce sont là sans doute les meilleurs garants pour sa pérennité.

 

Quel avenir pour la coopération scientifique bilatérale ?


                            
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