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                   N° 98 - Avril 2020 -   Actualité de la catastrophe 
                Catastrophes :  qu’ont à dire les humanitaires ?
                François GRÜNEWALD,  
                  Directeur général et scientifique du  Groupe URD 
                  
                Avec le  développement des dégradations environnementales majeures ‒ notamment celles  résultant des changements climatiques, de l’urbanisation accélérée ou de la  vulnérabilité croissante de pans entiers de populations ‒, la gestion du risque  et la capacité de répondre à leurs conséquences sont devenues des défis  centraux de nos sociétés. Les acteurs de la solidarité, tant des sociétés  civiles que des mécanismes multilatéraux, mais aussi et peut-être surtout les  instances dédiées des États, tentent d’y répondre, affichant à chaque fois des  progrès, mais rencontrant aussi de nombreuses difficultés. Remettre au centre  des stratégies de développement des sociétés et des territoires les enjeux de  résilience est un des axes-clés de la réflexion. Se préparer à mieux répondre  (plus vite, plus efficacement, en créant très vite des liens avec un  développement plus résilient en sortie de crise) devient une exigence face à la  multiplication des événements extrêmes. 
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                  N° 98 - April 2020 - The actuality of catastrophes 
                Catastrophes: What do humanitarian organizations have  to say? 
                
                François Grünewald,  
                  director of Groupe URD 
                                  
                As the environment is  blighted owing, in particular, to climate change, accelerated urbanization and  the growing vulnerability of large swaths of the population, managing risks and  responding to their occurrences have become key issues in our societies. The  “actors of solidarity” ‒ NGOs, multilateral procedures and, perhaps above  all, state organizations devoted to solidarity ‒ are trying to react, each  time making progress but still encountering many a hurdle. A major axis of  thought is to place resiliency at the center of strategies for developing local  areas and society. Given ever more extreme events, preparedness has become a  requirement in order to be able to respond more rapidly and more effectively  and to undertake a more resilient development following a crisis. 
  
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